« Pour moi, ce sont les tableaux d’Alexis Alatirseff qui me touchent le plus, ceux avec qui je vis maintenant et qui font partie de ma vie, se fondant dans le décor, jusqu’à ce qu’un regard me ramène au  vivant vibrant représenté, et  ceux acquis chez d’autres amis qui continuent à vivre dans ma tête: la femme à la robe rouge, les petits tennis attendant que la baigneuse revienne…
Pour le livre : c’est Perdre la tramontane, dont les héros si différents sont résolument incarnés avec leur personnalité, leur parler. Le regard sur la vie de l’enfant et sa grand mère, l’adolescent dur à cuire , le marginal au verbe haut… sont des amis de passage que j’ai aimé rencontrer. Voila pour mes coups de cœurs persistants. »
Martine Bugat

« Que dire de l’œuvre d’Alexis Alatirseff : éclectique, pluridisciplinaire, artiste aux multiples palettes. C’est un gourmand des situations, des sons,… un gourmet des mots, des couleurs … et je souhaite à chacun de trouver autant de bonheur que j’en ai eu dans toutes ces nourritures tant intellectuelles que visuelles ou émotionnelles. »
Jocelyne F. 

« Cela fait plus de 10 ans que j’ai eu la chance de rencontrer Alexis Alatirseff. Et au-delà de l’amitié que nous avons liée, d’apprécier ses talents nombreux et multiples. Je l’ai suivi dans ses créations littéraires, et partagé avec beaucoup d’intérêt les aventures de Nathan, le héros de son dernier roman policier ; l’arbre du voyageur.
Amateur de jazz, j’ai particulièrement apprécié sa culture musicale dans ce domaine, et profité de ses conseils pour écouter des morceaux choisis et sélectionnés par lui. Par ailleurs je ne connais pas toutes les créations d’Alexis, et j’ai hâte de les découvrir sur le blog qu’il va mettre en ligne. »
François, BORGIA

« Parmi les nombreux talents artistiques d’Alexis Alatirseff j’avoue que ce sont ses peintures qui me touchent le plus. Femmes et fillettes (la mienne !) de dos dans des décors très inspirants poussant à l’évasion. Mais aussi ses portraits de femmes (toujours !) aux petits traits. Quelques unes de ces œuvres décorent mon salon, je ne m’en lasse pas. »
Katoch B.

« Super ça Aliocha,
Faire un tour dans ton univers artistique et repenser à notre feeling, voilà qui me plaira beaucoup.
Je vous embrasse tous les deux. affectueusement. »
Jean-Pierre Tey

« Nous avons fait la connaissance d’Alexis Alatirseff à la fin des années 70 et il est très vite devenu un ami. 
On peut le comparer au roi Midas, qui change tout ce qu’il touche en or. Alexis, lui, change tout ce qu’il touche en ART.
Nous avons d’abord découvert ses talents artistiques à travers son film « LE MOUTARDIER », film qui dans le tableau du cinéma réunionnais, a cette belle place d’être le premier long-métrage de fiction réunionnais tourné à La Réunion, avec des artistes locaux (acteurs, musique…) et en langue créole.
Merci pour le patrimoine de mon île.

Une autre facette de son talent : nous avons été conviés à une belle exposition à Saint-Pierre, île de La Réunion. 
Ses tableaux sont d’une grande finesse. Ils montrent tous, du moins ceux que nous connaissons, son amour et son respect de la femme et l’hommage qu’il leur rend. 
Deux de ses tableaux de femmes vues de dos décorent les murs de notre maison et ont la particularité d’être des femmes qui regardent la mer. Pour nous qui vivons sur une île, ils ont tout à fait leur place sur nos murs à Saint-Gilles les Bains.

Très heureux pour lui du Prix décerné par  « La Société des Poètes Français » , le Prix PAUL VALERY 2022 pour son recueil « La Belle éthérée ». Félicitations. 
La dédicace qu’il nous a faite, est, elle-même, un morceau de poésie. 
Les deux poèmes que je préfère… Les enfants ont un secret espiègle….et Tes rires sont des crayons de couleurs..

Nous le disons franchement :  nous n’aimions pas toujours les longs solos qu’il faisait au saxophone. Néanmoins, quelle délicatesse, quelle originalité de présenter ses vœux de sa belle voix avec en fond sonore une création musicale de style différent chaque année. « Je suis le souhaiteur musical de Nouvel An. » Vraiment touchés par cette attention qu’il porte aux autres, par les morceaux originaux qu’il a composés à notre seule intention pour le mariage de Gaëlle, notre fille, et Maxime. Sans oublier les CD jazz, classique et autres qu’il a édités. 

Sabine et moi, nous avons lu ses deux romans policiers et son recueil de nouvelles.  On reconnait dans ses écrits l’amour qu’il porte à ses proches (famille, amis). L’amitié indéfectible qui nous lie se retrouve dans les lignes de ses romans où, au détour d’un personnage, on reconnait l’anagramme des nom et prénom de notre fils, où l’action d’une partie de son roman se situe chez nous à St Gilles, où l’on se reconnait dans la description d’un personnage. Merci l’ami. 
Quand on connait l’homme, on est convié à un autre voyage. Quelles cultures (de Madagascar, de la Catalogne, du Pays Cathare, du cinéma, de la littérature…( liste non exhaustive.) On ne s’arrêterait pas de l’écouter parler et Dieu sait s’il aime parler… de ses passions. On ne l’arrête plus. 
Nous nous souvenons d’une soirée, l’année dernière, chez lui, de l’avoir questionné sur Peire Maury et le Pays cathare. Et là, l’œil s’anime, le verbe se fait passion et on ne peut que le laisser parler et l’écouter.
Que de rires aux larmes lors de soirées entre amis lorsqu’il raconte des histoires, lorsqu’il se met à prendre des accents différents et tant d’autres facéties dont il a le secret. Un vrai régal et pour nous une vidéothèque et une photothèque très riches de moments de partage et d’amitié inoubliables. »
Claude et Sabine Glévarec